Retrouvez tous les articles publiés par Bernard Keppenne.

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Les marchés ont digéré, tant bien que mal, les décisions et annonces des Banques centrales, mais sont entravés par les risques que fait peser le variant Omicron sur la croissance au premier trimestre 2022.
Comme la journée est riche en événements et annonces, avec les décisions des Banques centrales et quand même quelques surprises, voici donc les nouvelles dans l’ordre ou dans le désordre.
Comme annoncé hier, la FED a bien décidé d’accélérer la réduction de ses rachats et indiqué qu’elle allait, en 2022, procéder à des ajustements monétaires, mais ces derniers seront mesurés et prudents.
Le chiffre du PPI aux Etats-Unis est venu confirmer, s’il le fallait encore, que l’inflation était durablement installée aux Etats-Unis et que la FED allait logiquement nous annoncer une accélération de la normalisation de sa politique monétaire à l’issue de sa réunion ce soir.
L’inégalité des revenus et des richesses s’accroît dans le monde entier depuis un certain temps. C’est l’un des facteurs qui a entraîné une baisse du taux d’intérêt réel d’équilibre, qui équilibre l’épargne et l’investissement planifiés. Le faible taux d’intérêt d’équilibre est à son tour la principale raison pour laquelle les banques centrales doivent recourir à des politiques non conventionnelles.