Retrouvez tous les articles publiés par Bernard Keppenne.

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Jeudi dernier, Eurostat a publié la première estimation de l’évolution des prix dans la zone euro en mai. Pour le deuxième mois consécutif, les prix des denrées alimentaires n’ont pas connu d’augmentation exagérée d’un mois sur l’autre, comme cela a été le cas au cours de l’année écoulée.
Face aux conséquences du dérèglement climatique, l’unanimité dira qu’il n’y a pas de bonne option. La première serait de ne rien faire et de subir les conséquences climatiques, humaines et financières du réchauffement de notre planète.
Les monétaristes croient que l’inflation est un phénomène monétaire « n’importe quand, n’importe où », entraîné uniquement par la croissance de la masse monétaire. Avec la persistance de l’inflation dans le monde, l’école de pensée monétariste fait son retour.
Grâce aux importantes réserves de gaz de l’UE et à une demande globalement modérée, les prix
du gaz en Europe ont poursuivi leur baisse régulière. Ils ont atteint 38 EUR par MWh, soit 88 % de moins que leurs niveaux d’août. Dans le même temps, les prix du pétrole sont restés relativement stables, l’effet à la hausse de la réduction de l’offre de l’OPEP d’un million de barils ayant été en grande partie compensé par les craintes croissantes concernant l’état de l’économie mondiale.
C’est reparti. Sans accord politique, les États-Unis atteindront probablement leur plafond d’endettement le 1er juin. Ne pas relever le plafond de la dette pourrait entraîner un désastre économique, compte tenu du rôle clé que jouent les bons du Trésor américain dans le système financier mondial.