Entre ralentissement et reconstitution des stocks
Soit les entreprises américaines préparent l’après ralentissement, soit elles profitent de la hausse des prix pour augmenter leur activité avant le ralentissement.
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Soit les entreprises américaines préparent l’après ralentissement, soit elles profitent de la hausse des prix pour augmenter leur activité avant le ralentissement.
Les révisions se suivent et se ressemblent, et elles se caractérisent aussi par leur prudence tellement le degré d’incertitude est élevé.
Les indices S&P Global PMI en zone euro ont quand même sérieusement marqué le pas sans pour autant encore basculer en territoire de récession.
Powell n’est vraiment plus le seul banquier central à être fortement déterminé à combattre l’inflation, inflation qui prend la forme d’une hydre un peu partout.
Le yen n’en finit plus de se déprécier, essentiellement par rapport au dollar, à cause d’une politique monétaire diamétralement opposée à celle des autres Banques centrales.
La FED par sa hausse des taux de 0.75% met la pression sur les autres Banques centrales, qui, contraintes et forcées, vont devoir augmenter leur taux de façon plus agressive, car elles ne veulent pas voir leurs devises se déprécier par rapport au dollar.
La France à la base est déjà un pays ingouvernable, mais après le résultat des élections elle le sera tout à fait et surtout totalement paralysée alors que des réformes majeures étaient indispensables.
Alors que la FED avait réussi à faire retomber un peu la nervosité, la décision surprise de la BNS n’a pas du tout plu aux bourses qui ont fortement corrigé.
La FED n’a pas tergiversé en augmentant son taux de 0.75%, et cette détermination a rassuré les bourses et fait baisser la tension sur les taux longs.
Les marchés obligataires intègrent déjà une hausse de 0.75% des taux de la part de la FED ce soir et lors de sa prochaine réunion en juillet.