Retrouvez tous les articles publiés par Bernard Keppenne.
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Une nouvelle fois, des indicateurs aux Etats-Unis montrent une situation contrastée, mais ils ont quand même renforcé le scénario d’un ralentissement de l’économie, ce qui a bien évidemment relancé les spéculations sur les baisses de taux.
Petite accalmie sur le front des tensions sur la dette française, ce qui a permis aux bourses européennes de se reprendre, mais dans un contexte qui demeure tendu et avec encore beaucoup de questions.
Vendredi, les investisseurs ont pris pleinement conscience, avec effarement, des programmes du RN et du Nouveau Front populaire, et encore, ils n’avaient pas connaissance de la candidature de François Hollande, ce qui explique l’accentuation des tensions sur les marchés européens.
La semaine se termine comme elle a commencé, et la semaine prochaine commencera comme celle-ci, à savoir avec une baisse des bourses européennes, un euro sous pression et des spreads dans la zone euro qui continuent de s’élargir, et tout cela grâce à Macron.
La FED a clarifié, une bonne fois pour toute, sa position, en repoussant le début de la baisse des taux jusqu’en décembre, compte tenu du niveau de l’inflation, mais également de la bonne tenue de l’économie américaine qui encaisse sans problème le niveau actuel des taux.