Retrouvez tous les articles publiés par Bernard Keppenne.

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Les chiffres aux Etats-Unis ont éloigné le risque de récession, mais aussi la probabilité d’une baisse de 0.50% des taux en septembre, car le reflux de l’inflation demeure encore très lent.
La Banque centrale de Nouvelle-Zélande a changé complétement son fusil d’épaule, non seulement en abaissant son taux, ce matin, mais en annonçant aussi d’autres baisses dans les prochains mois, adoptant une attitude totalement différente de celle de sa précédente réunion.
Le calme n’est qu’apparent, l’eau stagnante ne veut pas dire qu’il n’y a pas de vie, le temps suspend son vol même si en l’occurrence la situation est moins poétique, en un mot une certaine tension demeure.
34 degrés annoncés aujourd’hui en Belgique, des températures bien plus élevées en Grèce ou en Espagne, des feux démentiels au Canada, 2024 qui sera sans doute l’année la plus chaude, une nature qui souffre de plus en plus, et un dérèglement climatique qui s’accélère.
Après une semaine folle, où un chiffre a failli tout faire basculer, la leçon à tirer de tout cela est clairement qu’il faut rester serein et prendre le temps d’analyser et surtout d’attendre des données complémentaires pour se forger une opinion.