Retrouvez tous les articles publiés par Bernard Keppenne.

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En ces temps de conflits géopolitiques et de tensions commerciales, on pourrait facilement oublier que de nouveaux accords commerciaux sont encore en cours de négociation. L’accord de coopération tant attendu et laborieusement négocié entre l’UE et les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay et Bolivie) en est un exemple : des étapes importantes ont été franchies récemment.
L’inflation a déjà fait couler beaucoup d’encre, elle a été analysée sous différents angles et on a jugé si les Banques centrales devaient ou non déjà assouplir leur politique monétaire.
L’économie turque a connu un changement de politique remarquable depuis les élections présidentielles de l’année dernière. Le président Erdogan a nommé un ministre du Trésor et des Finances compétent qui prend des mesures pour réduire le déficit. Le gouvernement se débarrasse également de réglementations coûteuses, destinées à stopper la dégringolade de la lire.
Les inquiétudes géopolitiques concernant un conflit généralisé au Moyen-Orient étant passées au second plan sur les marchés, les prix du pétrole ont baissé le mois dernier. L’annonce de l’OPEP+ de prolonger les réductions de l’offre jusqu’à la fin de l’année prochaine n’a guère contribué à inverser cette tendance.
La crise climatique est entachée d’incertitude. La cartographie des trajectoires climatiques possibles est inextricablement liée à d’importantes inconnues telles que les développements politiques futurs, les progrès technologiques, les changements de comportement et les points de basculement difficiles à modéliser.