Retrouvez tous les articles publiés par Bernard Keppenne.

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Même si les chiffres du marché de l’emploi aux Etats-Unis se sont révélés plus solides que prévu, cela n’a pas affecté le sentiment que les Banques centrales étaient pratiquement arrivées en fin de cycle.
En quelques jours, les signes d’un ralentissement de l’économie américaine se sont multipliés, entrainant une baisse assez sensible des taux d’intérêt obligataires.
La Banque centrale de Nouvelle-Zélande a surpris tout le monde en augmentant ses taux de 0.50% au lieu des 0.25% attendus, tout en gardant encore ouverte la porte à une nouvelle hausse.
Nous approchons doucement de la fin du cycle de resserrement monétaire par les Banques centrales, avec des pauses pour mesurer les effets des hausses de taux jusqu’à présent, mais elles se laissent encore un peu de latitude.
L’OPEP+ a annoncé une baisse surprise de sa production à raison de 1.16 million de barils par jour, ce qui a logiquement provoqué une forte hausse du prix du baril.