Une fin d’année douce amer
C’est sur une note douce amer que se termine l’année, douce en terme de température et amer après de nouvelles frappes massives sur l’Ukraine hier.
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C’est sur une note douce amer que se termine l’année, douce en terme de température et amer après de nouvelles frappes massives sur l’Ukraine hier.
La liste des pays qui vont demander des tests aux chinois qui débarquent chez eux ne fait que s’allonger et la crainte d’une flambée incontrôlée des contaminations en Chine pèse sur les marchés boursiers.
La Chine est la championne de l’exportation, et voilà pourquoi elle a décidé de réexporter une nouvelle fois le Covid.
Jusqu’au bout les marchés boursiers ont sous-estimé les intentions des Banques centrales, et il faudra dès lors, l’année prochaine, y accorder plus d’importance.
Décidemment, le Japon fait parler beaucoup de lui en cette fin d’année et l’annonce de la BOJ continue de susciter beaucoup d’interrogations.
Le ralentissement du secteur immobilier aux Etats-Unis s’amplifie, un des signes positifs pour la FED, mais pas encore suffisant.
Même la BOJ vient prendre à contrepied les marchés financiers en annonçant des changements dans sa politique monétaire, un nouveau coup de Jarnac pour les bourses.
La fermeté des Banques centrales a ravivé les craintes d’une récession, craintes confirmées en partie par la publication des indices PMI.
Après les Etats-Unis mercredi, les taux d’intérêt ont augmenté hier en zone euro, en Grande-Bretagne, en Suisse, au Danemark, en Norvège, au Mexique et à Taïwan, et ce n’est pas fini.
Qu’on se le dise une bonne fois pour toute, la FED n’est pas prête à renoncer à lutter contre l’inflation, la Fed et les autres Banques centrales non plus d’ailleurs.