Etouffés dans l’œuf, les espoirs d’une baisse rapide des taux
Et cela continue, encore et encore, un indicateur aux Etats-Unis qui montre l’insolente performance de l’économie américaine, ce qui maintient la pression sur les taux.
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Et cela continue, encore et encore, un indicateur aux Etats-Unis qui montre l’insolente performance de l’économie américaine, ce qui maintient la pression sur les taux.
L’insolente fermeté du marché du travail aux Etats-Unis a fait bondir le dollar, les rendements obligataires et a même aussi contenté la bourse américaine avec un record pour le S&P500.
Le résultat du vote lors du Comité de la Banque centrale d’Angleterre, hier, est à l’image de l’état d’esprit des marchés finalement, à savoir une grande confusion.
Nous n’avons pas discuté de la baisse des taux, elle n’est pas d’actualité pour le moment, circulez il n’y a rien à voir, est en substance le message délivré par Powell après l’annonce du statu quo.
La bourse japonaise qui rit, alors que la bourse chinoise continue de pleurer sur fond d’une reprise qui décidemment se fait bien attendre.
La Belgique a fait mieux que résister en 2023, grâce évidemment à la consommation, mais pas que. Ceci cependant aussi au prix d’une aggravation des finances publiques.
La semaine sera rythmée, en partie, par la réunion de la FED, qui devrait, comme toutes les autres Banques centrales, laisser ses taux inchangés.
La BCE va prendre son temps et tout dépendra des données, en particulier celles des salaires, qui détermineront alors le moment pour procéder à une baisse des taux.
En trois jours, les autorités monétaires chinoises ont annoncé de nouvelles mesures, pour tenter d’enrayer la chute de la bourse, preuve qu’elles s’inquiètent de la tournure des événements.
Fuite en avant, ou réelle volonté de soutenir l’économie, les autorités chinoises essayent en tout cas de mettre un terme à la chute de la bourse, tout en préservant leur devise.