Stop ou encore ?
C’est la grande question qui va tarauder les investisseurs avec les réunions, cette semaine, de la FED, de la BCE et de la BOJ, sur la poursuite ou pas de leurs politiques.
3 International
C’est la grande question qui va tarauder les investisseurs avec les réunions, cette semaine, de la FED, de la BCE et de la BOJ, sur la poursuite ou pas de leurs politiques.
L’Allemagne, qui était la locomotive de l’Europe, a entrainé la zone euro en récession technique, suite au recul de son PIB au premier trimestre.
Véritable plongeon de la livre turque hier, qui a perdu 7% de sa valeur par rapport au dollar et personne ne sait où va s’arrêter cette descente en enfer.
Alors que la canicule qui sévit en Chine commence à avoir un impact négatif sur les récoltes et l’activité économique, les mauvaises surprises s’accumulent sur le front économique.
Alors que la pause se profile pour la FED, les membres de la BCE ont tenu à rappeler que la position de la BCE était différente compte tenu de l’inflation.
L’Arabie saoudite a décidé de réduire sa production de pétrole, en plus d’une décision de l’OPEP+ de limiter l’offre de pétrole, ce qui a bien évidemment fait remonter le prix du baril.
Le Sénat a approuvé, cette nuit, le projet de loi, ce qui éloigne pour un moment le risque d’un défaut de paiement des Etats-Unis, et ce qui permet de se concentrer sur les chiffres du marché de l’emploi aux Etats-Unis.
Rien n’est décidemment simple, entre des indicateurs contradictoires en Chine, et un marché de l’emploi aux Etats-Unis qui se révèle plus solide que prévu, ce qui relance les risques d’une inflation durable.
Nouveau recul de l’indice PMI manufacturier officiel en Chine, ce qui a entrainé un recul du yuan, mais surtout des craintes sur l’ampleur de la reprise en Chine.
Un accord a bien été trouvé entre Biden et McCarthy, mais pour autant rien ne permet d’affirmer qu’il sera approuvé par le Congrès et qu’on évitera dès lors la cessation de payement.