Rien ne peut justifier cela …
Le sentiment qui domine est une horreur indicible quand on s’en prend ainsi aux civils et rien ne peut justifier cela, ni d’un côté ni de l’autre, et il faut craindre un embrasement.
3 International
Le sentiment qui domine est une horreur indicible quand on s’en prend ainsi aux civils et rien ne peut justifier cela, ni d’un côté ni de l’autre, et il faut craindre un embrasement.
Les marchés espèrent un chiffre des créations d’emploi aux Etats-Unis pas trop élevé, sinon cela enclencherait une nouvelle vague de ventes des obligations et de hausse des taux.
Mais quel yo-yo, le prix du baril a perdu plus de 5$ hier, alors que l’OPEP+ a confirmé la réduction de sa production de 1.3 million de barils par jour.
Une fameuse claque pour les bourses, avec une nouvelle poussée des taux longs, après la publication d’un indice aux Etats-Unis sur le marché de l’emploi.
Le répit aura été de courte durée, et la tension sur les taux longs est repartie de plus belle, avec un rendement du Treasury 10 ans à 4.71%.
Shutdown provisoirement évité, baisse de l’inflation en zone euro, et stabilisation de l’indice PMI en Chine, voilà qui devrait un peu rassurer les marchés.
Le recul de l’inflation a bien eu lieu en Belgique et en Allemagne, ce qui devrait être le cas également dans la zone euro ce matin.
La combinaison de la hausse du dollar et du prix du baril est une très mauvaise nouvelle pour la BCE, car cela risque de provoquer une nouvelle hausse de l’inflation.
Même si l’indice de confiance des consommateurs aux Etats-Unis a reculé plus que prévu, le scénario d’un atterrissage en douceur demeure le scénario de la FED.
Un tremblement de terre est toujours suivi d’une série de secousses de moindre importance, mais qui font peur, et c’est exactement ce qui se passe sur les marchés financiers qui commencent seulement à digérer les propos des Banques centrales.