La sauce ne prend pas
Il y a des signes qui ne trompent pas, malgré la baisse des taux de la part de la BCE, les entreprises se montrent frileuses pour emprunter et dans le même temps les banques sont plus prudentes.
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Il y a des signes qui ne trompent pas, malgré la baisse des taux de la part de la BCE, les entreprises se montrent frileuses pour emprunter et dans le même temps les banques sont plus prudentes.
La bonne raison pour prendre leurs bénéfices, ou véritable inquiétude de la part des investisseurs sur la valeur des investissements colossaux des leaders américains de l’IA ? Un peu des deux sans doute.
Alors que les extrêmes ne cessent de se renforcer en Europe et que la rhétorique extrême se fait aussi entendre aux Etats-Unis, il est indispensable de se souvenir où tout cela peut mener pour ne plus jamais le revoir dans le futur.
La Banque du Japon a bien augmenté ses taux ce matin, portant ces derniers à leur plus haut niveau depuis 17 ans, sans provoquer de turbulences sur les marchés financiers.
Nouvelles annonces en Chine, preuve que le scepticisme n’est pas encore levé sur la réelle reprise de l’économie chinoise sans doute, et anticipation des conséquences des prochaines annonces de Trump en partie aussi.
Un pas de plus vers une nouvelle hausse des taux au Japon, après la confirmation que les salaires dans le secteur des détaillants continuaient d’augmenter assez fortement.
Dans un premier temps, concernant les tarifs douaniers, Trump a manifestement l’intention de s’en prendre uniquement au Canada et au Mexique avec une hausse de 25% de ces derniers à partir de février.
Un dollar ferme, des marchés boursiers américains qui ont très bien performé en 2024, une inflation en net recul, un marché de l’emploi solide, et une production industrielle en hausse de 0.9% en décembre, voilà le bilan de Biden.
Les autorités chinoises ont atteint leur objectif d’une croissance de 5% en 2024, pour autant que l’on puisse se fier aux chiffres, mais ce chiffre ne peut masquer les déséquilibres de l’économie.
Les rendements obligataires se sont repliés de façon aussi spectaculaire qu’ils avaient augmenté depuis une semaine, après des chiffres d’inflation conformes aux prévisions aux Etats-Unis et en recul en Grande-Bretagne.