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Élections en France : ne vous focalisez pas uniquement sur le Président

Le Président est un personnage puissant en France. Il peut, entre autres, nommer les ministres, dissoudre le Parlement, accorder des grâces et négocier et ratifier des traités internationaux. Malgré les pouvoirs étendus de sa fonction, le Président est toujours largement dépendant du Parlement pour la bonne mise en œuvre de son programme politique. Pourtant, les médias se concentrent actuellement presque exclusivement sur l’élection présidentielle d’avril et accordent peu d’attention à l’élection parlementaire de juin.

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Le dilemme de l’inflation verte pour la BCE

La hausse des prix de l’énergie dans le monde entier donne un avant-goût de la pression inflationniste que la transition verte pourrait créer. Comme un choc d’offre négatif, les taxes sur le carbone et les augmentations des prix de l’énergie sont en soi inflationnistes et pèsent sur l’offre de l’économie. Cependant, contrairement aux chocs pétroliers des années 1970, il existe désormais des recettes fiscales qui peuvent être recyclées, par exemple vers l’investissement ou les transferts aux ménages.

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La BCE va-t-elle rester hantée par le « syndrome Trichet » ?

Powell a franchi le pas en confirmant, lors de la réunion de ce 26 janvier, non seulement la fin du programme de rachats d’actifs en mars de cette année, mais également la hausse des taux des Fed Funds à partir de mars. Et il a également confirmé que la FED allait commencer à réduire la taille de son bilan, le fameux resserrement quantitatif, durant cette année, sans toutefois donner le détail du timing, ni l’ampleur.

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Élections présidentielles en Italie : un nouveau “whatever it takes” ?

Les prochaines élections présidentielles en Italie pourraient être cruciales pour la poursuite des réformes économiques dans le pays, et notamment pour la mise en œuvre du plan de relance et de résilience, pour lequel l’Italie peut compter sur quelque 200 milliards d’euros de soutien européen (subventions et prêts).

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Beaucoup de vents contraires mais …

À l’aube de la nouvelle année, la trajectoire de la pandémie continue de façonner le paysage macroéconomique, mise en évidence par la dernière émergence du variant Omicron. Nous continuons de penser qu’Omicron ne fera pas dérailler la reprise économique, qui reste néanmoins affectée par d’autres vents contraires, tels que les goulets d’étranglement persistants de la chaîne d’approvisionnement et la flambée des prix de l’énergie.

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Turquie : tester les limites de l’orthodoxie

La livre turque a perdu plus de 40 % de sa valeur par rapport au dollar américain en 2021, plongeant l’économie dans une nouvelle crise monétaire. Contrairement à 2018, où le choc des changes reflétait des déséquilibres extérieurs insoutenables, la braderie actuelle de la livre a été déclenchée par la politique monétaire ultra-libre qui est fermement sous l’emprise du président Erdogan.

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Seuls les agiles survivent dans une économie chaotique

Dans le monde d’aujourd’hui, le “chaos” et “l’ordre” ont un impact croissant sur les entreprises. Bien que le chaos soit une constante, il prend aujourd’hui une ampleur plus globale et multidimensionnelle, avec de nombreux changements rapides économiques et non économiques (par exemple, crises successives, avancées technologiques, changement climatique…).

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Perspectives économiques plus incertaines

Les perspectives économiques sont devenues plus incertaines et sont soumises à d’importants risques de détérioration à l’horizon 2022. La pandémie joue toujours un rôle prépondérant dans le façonnement du paysage macroéconomique, l’émergence du variant Omicron venant le rappeler.

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Les effets secondaires de la politique monétaire se multiplient

L’inégalité des revenus et des richesses s’accroît dans le monde entier depuis un certain temps. C’est l’un des facteurs qui a entraîné une baisse du taux d’intérêt réel d’équilibre, qui équilibre l’épargne et l’investissement planifiés. Le faible taux d’intérêt d’équilibre est à son tour la principale raison pour laquelle les banques centrales doivent recourir à des politiques non conventionnelles.

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