Des Banques centrales qui surprennent
Comme je l’avais annoncé, la semaine était chargée en réunions des Banques centrales et, après la décision de la BOJ, deux Banques centrales ont fameusement surpris les marchés hier.
Comme je l’avais annoncé, la semaine était chargée en réunions des Banques centrales et, après la décision de la BOJ, deux Banques centrales ont fameusement surpris les marchés hier.
Chiffre d’inflation aux Etats-Unis en hausse, riposte américaine en mer Rouge qui dépasse la simple interception de missiles, et chiffres mitigés en Chine, tout cela rend les marchés glissants.
Les deux indicateurs publiés vendredi aux Etats-Unis se sont neutralisés, car ils ont donné une image très différente de la situation, ce qui a évidemment perturbé fameusement les opérateurs.
L’équipe du Brief a donc fait appel aux journalistes de l’équipe “Mon Argent”, le service qui écrit sur tout ce qui touche au sujet.
Mathilde Ridole, spécialiste de l’immobilier à L’Echo, et Bernard Keppenne, chef économiste chez CBC Banque, vont nous faire profiter de leur expertise.
Les derniers des Mohicans devraient encore agir aujourd’hui, mais ils sont vraiment de moins en moins nombreux car la tendance est maintenant au statu quo ou à la baisse. La
Bernard Keppenne dévoile l’importance cruciale de la performance extra-financière des entreprises, les risques liés à l’absence de transition ambitieuse, et explore des concepts clés tels que l’économie durable et la tempérance dans un condensé captivant.
La semaine sera marquée par la publication, ce mercredi, du chiffre d’inflation aux Etats-Unis, et commence avec celui en Chine.
Comme quatre autres professionnels de la finance, Bernard Keppenne, Chief Economist de la banque CBC, nous a ouvert son portefeuille financier dans la série Tracker Plus.
Vous pouvez voir le webinaire que j’ai eu le plaisir de présenter pour KBC Commercial Banking et CBC Corporate Banking avec mon collègue Nicolas Berthelot. Webinaire organisé par Stefanie Mitelman.
Il est frappant de constater que, jusqu’au troisième trimestre de 2022, la crise énergétique et la forte inflation qui en a résulté n’ont pas eu d’impact visible sur la croissance en volume de la consommation privée en Belgique.