L’Asie commence l’année dans le doute
L’Asie commence l’année en recul sur fond de crainte des conséquences de l’arrivée de Trump à la Maison Blanche, alors que ce continent est fortement dépendant des exportations.
3 International
L’Asie commence l’année en recul sur fond de crainte des conséquences de l’arrivée de Trump à la Maison Blanche, alors que ce continent est fortement dépendant des exportations.
Dans la continuité de mes propos d’hier, les indices en Chine, ce matin, montrent également que l’industrie peine à se reprendre, tout en posant aussi la question de l’impact des mesures de soutien.
L’industrie aura marqué l’année, mais pas de façon très positive, et termine sur une tendance qui reste encore largement négative dans la majorité des pays.
Faut-il y voir un signe positif, en tout cas le nouveau gouvernement français envoie un signal fort en faisant du recyclage et même de modèles obsolètes, mais pas certain que cela suffira pour relancer la machine.
Comme chaque année, je reviens sur mes prévisions pour l’année, et cette année le bilan n’est vraiment pas trop mauvais.
Le yen demeure sous pression par rapport au dollar après le statu quo de la BOJ, les commentaires prudents de son gouverneur, alors que l’inflation s’est accélérée en novembre.
Le moins que l’on puisse dire c’est que la trajectoire de la FED pour 2025 n’a vraiment pas plu à la bourse américaine et a provoqué une forte hausse des rendements obligataires et du dollar.
C’est évidemment la réunion de la FED qui sera au centre de toutes les attentions, mais surtout les dot plots de ses membres sur l’évolution future des taux.
Un peu moins pires, ou un peu meilleurs ? En parlant des indices PMI en zone euro, publiés hier, qui ont montré, une nouvelle fois, une situation contrastée entre l’industrie et les services.
Nouvelle semaine rythmée par les réunions des Banques centrales, même si c’est le statu quo qui dominera. Avec en prime la publication des indices PMI en zone euro qui ne vont certainement pas rassurer.