Toujours fortes mais jamais acides, quand les fines analyses de Bernard Keppenne donnent corps aux articles de presse nationale et internationale.

Toujours fortes mais jamais acides, quand les fines analyses de Bernard Keppenne donnent corps aux articles de presse nationale et internationale.
Secouée par l’invasion des forces russes en Ukraine, la bourse de Bruxelles a réussi à limiter ses pertes qui ont avoisiné les 4 pour cent en cours de séance boursière ce jeudi. Le Bel20 a ainsi clôturé la journée sur une baisse de 1,9 pour cent à 3.899,15 points.
Après la crise du Covid 19, les marchés sont soumis à un nouveau choc. Ce n’est pas la première crise à laquelle les investisseurs doivent faire face. Et ce ne sera pas la dernière ! Alors comment réagir dans une période de turbulence comme celle que nous connaissons aujourd’hui ?
Débrancher le réseau financier Swift en Russie est “l’arme nucléaire” que les Européens se refusent pour l’instant à actionner, par crainte des dégâts collatéraux.
Le président russe semble “décider cela tout seul comme s’il poursuivait une chimère”, estime Bernard Keppenne (CBC Banque). Malgré le fait que ce soit un “nain économique”, analyse Bernard Adam (Grip).
Le risque d’un conflit armé en Ukraine a fait grimper le prix du baril au plus haut depuis plus de 7 ans. Les actions chutent, les obligations servent de refuge.