Bernard Keppenne dans la presse

Toujours fortes mais jamais acides, quand les fines analyses de Bernard Keppenne donnent corps aux articles de presse nationale et internationale.

Javier Milei et l’Argentine : quel avenir économique ?

On le surnomme el loco, le fou, ou encore le « Donald Trump argentin ». En début de semaine, Javier Milei est devenu le nouveau président de l’Argentine, avec un score de 56% au second tour des présidentielles. Les Argentins voulaient un changement, surtout économique… Que promet-il et est ce réaliste?

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Les banques centrales vont-elles plonger l’économie en récession?

Bien qu’elles aient toutes deux marqué une pause dans leur relèvement des taux, la BCE et la Fed devraient encore rester focalisées sur l’inflation pour un bon moment, selon les économistes Bernard Keppenne (CBC), Catherine Danse (Belfius) et Christopher Dembik (Pictet AM).

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Quelle stratégie derrière le nouveau bon d’Etat?

Le nouveau bon d’Etat fait déjà couler beaucoup d’encre. Alors que les détails devaient être annoncés la semaine dernière, le gouvernement s’est octroyé une semaine supplémentaire pour peaufiner sa stratégie. Un deuxième bon d’État analogue à celui du mois d’août pourrait exercer une pression encore plus forte sur le secteur bancaire belge, surtout pour les petites banques, au risque de renforcer l’oligopole dénoncer la semaine dernière par l’autorité de la concurrence.

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Faut-il taxer les surprofits des banques ?

600 millions d’euros, voilà ce que pourrait rapporter une taxe sur les surprofits des banques selon le parti socialiste flamand qui a mis cette proposition sur la table. PS et Écolo ne sont pas contre et cela pourrait aider le gouvernement à ramener son déficit à 3%, comme exigé par le pacte de stabilité européen. Une idée séduisante sur le papier mais les avis des spécialistes sont mitigés.

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Hit-parade des fonds : Grosse déception sur la Chine

Selon les chiffres fournis par Quantalys à fin août, on constate que les fonds investis en actions chinoises ont accusé une forte baisse durant le mois d’août. Fin de l’année 2022, la Chine représentait cependant beaucoup d’espoirs pour les investisseurs. « En effet, tous les espoirs étaient permis au moment de l’abandon de la politique zéro Covid et de la réouverture de l’économie. A cette époque, les espoirs d’une reprise économique fulgurante étaient bien présents », reconnait Bernard Keppenne, Chief economist chez CBC Banque et assurance.

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