Toujours fortes mais jamais acides, quand les fines analyses de Bernard Keppenne donnent corps aux articles de presse nationale et internationale.
Faut-il taxer les surprofits des banques ?
600 millions d’euros, voilà ce que pourrait rapporter une taxe sur les surprofits des banques selon le parti socialiste flamand qui a mis cette proposition sur la table. PS et Écolo ne sont pas contre et cela pourrait aider le gouvernement à ramener son déficit à 3%, comme exigé par le pacte de stabilité européen. Une idée séduisante sur le papier mais les avis des spécialistes sont mitigés.
Hit-parade des fonds : Grosse déception sur la Chine
Selon les chiffres fournis par Quantalys à fin août, on constate que les fonds investis en actions chinoises ont accusé une forte baisse durant le mois d’août. Fin de l’année 2022, la Chine représentait cependant beaucoup d’espoirs pour les investisseurs. « En effet, tous les espoirs étaient permis au moment de l’abandon de la politique zéro Covid et de la réouverture de l’économie. A cette époque, les espoirs d’une reprise économique fulgurante étaient bien présents », reconnait Bernard Keppenne, Chief economist chez CBC Banque et assurance.
Essence : La vente à perte, une « absurdité » plus qu’une solution miracle contre la hausse des prix ?
COÛT DE POMPE Le 2 décembre, les pompistes pourront vendre leur carburant à perte pour une durée de six mois, a indiqué le gouvernement ce lundi. Une mesure qui a des sacrées allures de fausse bonne idée, selon les différents experts interrogés par « 20 Minutes »
BCE : la hausse du taux directeur était-elle nécessaire ?
L’augmentation du taux directeur par la Banque centrale européenne ne surprend pas certains experts. Le contexte l’y a contraint, l’inflation de la zone euro reste à des niveaux trop élevés.
Les bourses mondiales ont eu un mois d’aout difficile
Le mois d’août a été difficile pour les marchés mondiaux. Ceux-ci ont perdu 2% globalement lors de la dernière séance d’aout. Plusieurs facteurs expliquent cela, comme la situation des exportations, la crise immobilière chinoise et l’attente aux États-Unis du rapport crucial sur l’emploi. Les économistes espèrent que celui-ci soit mauvais.