Choc fiscal, dérégulation, protectionnisme… Les banques européens craignent de faire les frais du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, contrairement à leurs concurrents américains qui se frottent les mains. Explications.
Choc fiscal, dérégulation, protectionnisme… Les banques européens craignent de faire les frais du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, contrairement à leurs concurrents américains qui se frottent les mains. Explications.